La Bresse ? Ça se précise !

Tout est tellement plus facile lorsqu’un terrain ou une maison ne plaît pas, il suffit de laisser tomber !

Mais je crois bien que cela risque d’être plus compliqué en ce qui concerne cette ferme bressane car cette maison nous a tapé dans l’œil. Nous avons donc jugé opportun d’effectuer une deuxième visite.

Au delà de son charme typique, les terrains et la grange permettent de démarrer rapidement l’activité même si dans l’idéal il me faudra attendre l’été 2012 afin d’avoir, je l’espère, mon diplôme en poche.

J’ai également contacté la mairie afin d’être sûre de pouvoir monter un élevage sans nuire au voisinage. La secrétaire de mairie nous a fait parvenir un plan cadastral mentionnant que le bâtiment d’élevage était distant de 62m de la maison la plus proche et que je respectais la réglementation locale obligeant une distance minimum de 50m.

Au niveau des premiers travaux à réaliser, il faudra refaire la toiture de la maison – nous avons donc fait établir un devis par un artisan local – puis, nous utiliserons ensuite cette maison comme résidence secondaire jusqu’en juillet ou août 2012 afin de savoir exactement comment nous comptons l’aménager. Aussi, après nous être entendus sur le prix, nous avons convenu avec le propriétaire de rencontrer le notaire début septembre afin de signer le compromis de vente. Commence donc l’établissement du plan de financement avec les rendez-vous dans les banques.

 

Et pourquoi pas la Bresse ?

Puisqu’il est réellement compliqué d’acheter un terrain, nous voilà repartis à la recherche d’une ferme. Consultation des petites annonces sur internet : une maison semble convenir à nos attentes, nous prenons rendez-vous et allons la visiter Dimanche 17 juillet.

Comme on peut le voir sur la photo ci-dessus, il s’agit d’une typique ferme Bressane. Elle se trouve sur un terrain d’environ deux hectares. Cela peut sembler un peu juste mais le propriétaire vends deux hectares supplémentaires situés à 500 mètres de l’exploitation. Face à la maison, une grange avec une écurie.

Un seul bémol à constater, la toiture qui est à reprendre mais, après discussion avec le propriétaire, un couvreur ira d’ici la fin de la semaine effectuer un devis afin de voir si malgré les travaux le projet est viable. Une fois ce devis effectué, il faudra alors contacter la mairie afin de savoir si l’implantation d’un élevage peut-être autorisée. Si tel est le cas, il ne restera plus qu’à rencontrer le banquier.

La suite au prochain épisode…

 

 

Il est compliqué de vouloir acheter un terrain agricole

Cela faisait longtemps que je n’avais pris la plume le clavier mais il faut dire qu’entre mes cours, les enfants et les stages professionnels,  j’ai été très occupée ces derniers temps. Le terrain sur lequel j’avais des vues étant un terrain agricole, j’ai pris rendez-vous avec le Maire de Beausemblant (Drôme) afin de lui exposer mon projet puis, comme il ne semblait pas opposé à l’idée de l’ installation d’un élevage d’ânes sur sa commune, j’ai envoyé la demande de certificat d’urbanisme à la mairie. La Direction Départementale du Territoire ayant deux mois pour me répondre, j’ai pu peaufiner mon projet.

La réponse n’arrivant toujours pas, j’ai à l’expiration du délais contacté la mairie afin de savoir si une décision avait été prise. La secrétaire a paru surprise que je n’ai rien reçu puisque le projet avait été accepté. J’ai donc approfondi le projet jusqu’à réception du fameux document qui m’informait du refus du certificat d’urbanisme. La secrétaire de la mairie s’était tout bonnement trompé de dossier lorsqu’elle m’avais communiqué l’accord.

Du coup, je suis obligée de reprendre mes recherches à zéro et, chat échaudé craignant l’eau froide, me mets à nouveau en recherche d’une ferme avec quelques hectares de terrain. J’ai pu visiter déjà trois maisons mais aucune ne convenait. Espérons que je trouve enfin mon bonheur.

 

Un terrain ? Et pourquoi pas

N’arrivant pas à trouver une exploitation agricole correspondant à mes besoins, j’ai décidé de regarder du côté des terrains à vendre et, suite à une petite annonce je me suis rendue aujourd’hui en voir un de 5,4 hectares dans le nord de la Drôme.

Le propriétaire actuel y cultive des abricots (environ 400 arbres) mais, pourquoi pas ?

Reprendre son exploitation en plus de l’élevage des ânes est une option à étudier.

L’emplacement me convient mais j’ai quand même quelques interrogations à lever :

  • Quid du nombre important de cailloux ?
  • Le maire serait-il d’accord pour que je puisse construire dessus ?
  • Quelles sont les contraintes qu’occasionne le gazoduc qui passe sur quelques mètres dans l’un des angles du terrain ?

 

Je dois donc me renseigner auprès de mes enseignants sur l’incidence de ces maudites pierres et sur la nature de ce sol sableux limoneux puis, si cela correspond à ma future activité prendre rendez-vous d’abord avec le maire puis ensuite avec les gens de Gaz de France.

La suite dans un prochain billet.

Recherche d’une exploitation agricole – 2ème visite

Nouvelle visite de ferme dans le Pilat près de la Croix de Chaubouret (Loire). Nous sommes à 1100 mètres d’altitude et le vent souffle fort. La température est de 3°  C et les accès sont encore enneigés mais le moral est bon, c’est parti pour la visite.

Cela fait quatre ans que cette maison n’est plus habitée et, comme l’électricité à été coupée, la visite à la lampe torche ‘est pas évidente. Les dépendances sont nombreuses et correspondent à ce que je recherche.

Malheureusement, face à la porte d’entrée, à une vingtaine de mètres environs… la villa du voisin. Tant pis, ce ne sera pas celle là.